Règles de sécurité primordiales

Des règles de sécurité primordiales sont à considérer en cas de panne sur l’autoroute. Un véhicule stoppé sur la bande d’arrêt d’urgence est une convoitise et les autres chauffeurs n’auront pas le réflexe que votre voiture est en panne et cela va engendrer un accident.
Pour les problèmes mécaniques :
• Rejoignez la file de droite dès les premiers signes alarmants
• Vous devez toujours vous arrêter sur la bande d’arrêt d’urgence, et garez votre voiture le plus à droite possible
• Annoncez votre présence en activant vos feux de détresse.
• Pour plus de sûreté, si vous possédez un triangle de signalisation, mettez-le à une trentaine de mètres derrière l’auto.
• Surtout ne stationnez jamais devant le rail de sécurité ni dans votre voiture,
• Allez ensuite de l’autre côté des glissières de sécurité.
• Ne stoppez pas les autres conducteurs
• Ne faites aucune réparation.

En cas de panne d’essence

La panne d’essence arrive souvent quand vous ne regardez pas le voyant lumineux annonçant que vous êtes sur réserve de carburant. Pour cette panne, rejoignez à pied la station-service à proximité pour le remplissage de votre bidon, car disposer d’un bidon rempli d’essence dans votre coffre devient une menace d’explosions et d’inflammation.

Outils primordiaux en véhicule

Pour conduire sereinement, il existe des équipements indispensables à avoir en permanence dans votre véhicule. Renouvelez votre stock d’ampoules, une fois le changement effectué. Voici des outils à avoir dans le coffre de sa voiture :
• Un triangle de signalisation et le gilet réfléchissant sont devenus indispensables
• Un cric et une manivelle en cas de pneus crevés
• Des pinces de batterie.
• Une lampe torche pour la panne en soirée
• Des ampoules de rechange.

Les différents types de vernis

Les vernis pour carrosserie sont généralement composés de résines acryliques ou polyuréthanes. Ils sont soit à base de solvant, soit à base d’eau. Le solvant permet au vernis d’être facilement étalé. Il doit sa résistance au liant et sa couleur aux pigments. Il existe différents types de vernis. Chacun possède des caractéristiques précises (par exemple : résistance aux UV). Certains vernis ont des applications spécifiques (par exemple : voitures de collection).

Les vernis les plus courants sont les vernis mono-composants et les vernis bi-composants. Les vernis mono-composants sont des vernis prêts à l’emploi (ils n’ont pas besoin d’un durcisseur ni d’un catalyseur). Ils sont faciles à utiliser. D’ailleurs, ils sont souvent disponibles en aérosol. Ils sèchent simplement par évaporation des solvants qu’ils contiennent. En plus, ils sèchent généralement plus rapidement que les vernis bi-composants. La durée de séchage dépend des conditions météorologiques (température, humidité, etc.). Puis, ils coûtent moins cher que les vernis à deux composants. Malheureusement, ils ont une durée de vie limitée, car ils résistent difficilement aux rayures, aux produits chimiques et aux UV. Bien que ces vernis offrent une belle apparence à la peinture juste après leur application, ils subissent un phénomène de décoloration et de jaunissement au fur et à mesure qu’ils sont exposés aux rayons UV. Enfin, ils ne conviennent pas à tous les types de carrosserie et ne supportent pas les conditions extrêmes. Les vernis mono-composants sont souvent utilisés pour des travaux simples, surtout ceux pour lesquels la durée de vie du vernis n’est pas une priorité.

Les vernis bi-composants (2K) doivent être mélangés à un durcisseur avant d’être étalés sur la peinture de la carrosserie. Ils ont une meilleure résistance et une durée de vie plus longue que les vernis mono-composants. En effet, une fois que le vernis et le durcisseur (ou le catalyseur) sont mélangés, une réaction chimique se produit. Il en résulte un durcissement du vernis, d’où sa résistance et sa durabilité. Ces vernis résistent aux rayures, aux impacts et aux produits chimiques. Ils résistent également aux ultraviolets, ce qui réduit le risque de décoloration et de jaunissement. Certains vernis bi-composants sont réservés aux carrosseries des véhicules qui circulent dans les régions où les conditions climatiques sont extrêmes. Au niveau esthétique, ces vernis fournissent une finition parfaitement uniforme et brillante. Il y a toutefois un petit inconvénient : le temps nécessaire pour le séchage complet est long, surtout lorsque les températures sont basses. Enfin, en raison de leur excellente qualité, ces vernis sont chers.

Les outils des professionnels de la carrosserie

Suivez toujours les instructions du fabricant lors de l’application du vernis pour s’assurer que le produit adhère correctement à la surface et offre une protection maximale à la peinture. De toute façon, il est mieux de confier cette tâche à des professionnels de la carrosserie, surtout si vous optez pour les vernis bi-composants. En effet, le mélange des deux composants doit être effectué avec précision, et, une fois le mélange effectué, il faut aller très vite, car le temps d’application est limité. À propos justement de cette application, elle peut nécessiter un équipement spécialisé. C’est le cas lorsqu’il est indispensable d’obtenir une ventilation adéquate, parce que le produit est susceptible d’être nocif.

Les professionnels de la carrosserie utilisent des outils qu’un particulier ne possède pas toujours. Ces outils leur permettent de faire un travail de qualité. En voici quelques-uns :
– Cabine de peinture dotée d’un éclairage puissant
– Ponceuse pour carrosserie
– Pistolet à peinture
– Rouleau spécial vernis
– Pinceau spécial vernis
– Compresseur d’air
– Mélangeur (dans le cas des vernis 2k)
– Appareils de mesure (par exemple : jauge d’épaisseur pour peinture et vernis)
– Séchoirs à peinture à infrarouge ou à air chaud
– Cire pour carrosserie
– Papier de verre et tampons abrasifs

Ils sont également équipés pour leur sécurité (Équipement de protection individuelle) :
– Vêtements de protection (combinaisons, gants, masques faciaux, lunettes, etc.)
– Appareil de protection respiratoire

Ce sont des outils de qualité professionnelle. Ils sont solides, durables et permettent d’obtenir un résultat de qualité. Les professionnels choisissent des outils adaptés à la tâche qu’ils doivent effectuer.

Les méthodes de pose du verni par les professionnels de la carrosserie

Les professionnels utilisent soit la pulvérisation au pistolet, soit l’application au rouleau (surfaces planes) et au pinceau (petites surfaces et les zones difficiles à atteindre). Les experts privilégient généralement l’application au tampon pour les retouches ainsi que les réparations mineures. Chaque méthode nécessite un savoir-faire technique, surtout la méthode au pinceau. Enfin, le professionnel choisit la méthode en fonction du type de vernis et des exigences de leurs clients.

Comment initier son enfant au vélo de route ?

Initier son enfant au vélo de route se fait en 3 étapes. La première est l’apprentissage de la vitesse. Il faut dans ce cas, commencer par lui apprendre à garder l’équilibre et à faire des slaloms tout en gardant une bonne vitesse. Pour cela, privilégiez les exercices sur un terrain plat. Ce sera l’idéal pour que votre enfant puisse apprendre vite et rapidement. Ensuite, attaquez les sorties en groupe. Pour ce faire, vous pouvez faire des promenades en famille ou à deux, mais commencez par une distance raisonnable afin de ne pas trop fatiguer votre enfant.

L’initiation doit se faire progressivement, et doit lui permettre de s’approprier de cette nouvelle passion. Une fois toutes les techniques acquises, ce qu’il vous reste à faire c’est d’améliorer ensemble vos performances sur votre vélo de route. Vous pouvez le pratiquer comme loisir et passe-temps, ou monter en niveau et vous inscrire ensemble dans des clubs de vélo. Ce sera un moment de partage qui vous fera des activités à faire régulièrement, mais aussi, une activité qui permettra à votre enfant, de garder la forme et d’apprécier les activités sportives.

Comment lui choisir son vélo de route ?

En premier lieu, sachez qu’il existe des vélos de route spécialement créés pour les enfants. La première erreur à ne pas faire quand vous faites le choix de sa bécane, serait alors d’acheter à votre enfant un vélo de route comme pour les adultes, mais en modèle plus petit. Afin d’éviter cela, optez pour un modèle qui lui convienne, c’est-à-dire, à la bonne taille, qui s’adapte à sa morphologie et qui convient à son niveau. Pour vous aider à orienter votre choix, les deux principaux critères à respecter sont, en premier lieu, une bonne position des poignets. En second lieu, il sera aussi essentiel d’avoir un système de double freinage fonctionnel.

En effet, un bon positionnement des poignets permettra à votre enfant de piloter son vélo avec facilité et d’effectuer un bon contrôle. C’est beaucoup plus facile et plus sûr si vous respectez ces points. Par ailleurs, un système de double freinage est utile pour laisser à l’enfant la possibilité de freiner tout en maitrisant parfaitement son vélo grâce à ses mains posées sur le guidon. Il est également recommandé, autant que possible, d’emmener votre enfant avec vous pour le choix de son vélo de route. Cela, parce qu’un essai peut s’avérer utile pour voir s’il est bien positionné et placé confortablement, sur son vélo.

Comment circuler à vélo avec son enfant ?

À partir de 8 ans, votre enfant va enfin pouvoir vous accompagner dans les grandes aventures en vélo de route. Que ce soit pour une petite promenade, pour une randonnée ou même pour un voyage à vélo de ville en ville, le faire avec son enfant nécessite le respect de quelques règles et conditions. Avant de vous lancer, dans ce cas, pensez à apprendre à votre enfant la base des codes de la route, surtout en ville.

Apprenez-lui également, à gérer son vélo de route face aux automobilistes. Si vous roulez en campagne, évitez les parcours trop ardus et difficiles. Et pour finir, n’oubliez jamais qu’il faut rouler en ligne ! Même si on part du principe de faire du vélo ensemble, vous ne devez jamais rouler côte à côte. En étant l’adulte responsable de la sécurité de votre enfant, vous devez vous placer 2 à 3 mètres derrière lui. Donnez-lui des consignes et directives de conduite à voix haute si nécessaire. Il sera aussi conseillé de lui mettre les bons équipements de sécurité, comme un casque de protection, des genouillères, et des habits respirant.

Pourquoi opter pour un VTC ?

Pour assurer votre transfert depuis votre hôtel à Cannes vers l’aéroport de Nice, réservez un VTC. Il suffit de passer un coup de téléphone ou de faire votre réservation en ligne. Vous précisez le nombre de personnes qui vont y embarquer et vous indiquez un lieu de rendez-vous. Le chauffeur viendra vous récupérer à l’heure convenue, vous pouvez en être certain.

Si vous venez de débarquer et si vous êtes là pour une raison professionnelle, vous ne serez pas en retard. Mais si vous êtes en fin de séjour et devez rejoindre l’aéroport, vous ne le serez pas non plus. Même s’il y a des bouchons sur votre trajet, votre chauffeur sait exactement par où passer pour arriver à l’heure. De plus, vous bénéficiez d’un service unique et personnalisé.

Réservez un VTC pour votre transfert

Pour information, depuis Cannes, le tarif d’un VTC n’est pas excessif, comme on pourrait le croire. C’est tout à fait abordable également pour rejoindre Cannes depuis l’aéroport de Nice. Certes, c’est sans doute plus cher que le bus. Cependant, vous n’aurez pas à traîner votre famille et vos valises à pied jusqu’au premier arrêt de bus. En tout cas, prendre un VTC est pratique, rapide et confortable. En moins de temps qu’avec un bus ou un métro, vous arrivez à destination.

Vous serez déposé là où vous devez exactement vous rendre, peut-être à un rendez-vous professionnel ou à votre chambre d’hôtel. Votre trajet sera agréable parce que votre chauffeur sera aimable, courtois et serviable. Une note : si vous venez pendant un événement sportif majeur ou un salon, un concert, réservez votre VTC à l’avance. C’est aussi le cas en haute saison, donc anticipez, commandez votre véhicule plusieurs jours avant.

Vérifiez les avis clients

A l’ère du numérique, chaque entreprise se doit de détenir un site web. Grâce à lui, vous allez avoir la possibilité de vérifier la qualité du service du garage, via les retours client. Il ne vous suffit que de lire les commentaires dans la section « laissez votre avis » pour vous faire une idée des capacités du garage. Restez simplement objectif(ve) durant votre lecture afin de pouvoir en dégager une impression qui vous est propre.

Prenez contact avec l’Office de la protection du consommateur

L’Office de la protection du consommateur (ou son équivalent) est un organisme public mis en place dans le but d’enregistrer les plaintes des clients concernant les prestations d’une entreprise X. La ligne téléphonique pour les joindre n’est pas surtaxée, vous aurez donc la possibilité de vérifier directement si des automobilistes ayant confié la réparation de leur voiture ont déjà porté plainte contre le garage.

Tenez compte des tarifs

Généralement, les tarifs élevés sont un obstacle pour les clients qui souhaitent faire appel aux services d’un professionnel. Or, un tarif bas devrait également vous mettre la puce à l’oreille. Que ce soit pour un entretien ou encore pour la recherche de pièces de rechange, un garage automobile digne de ce nom devrait proposer un tarif qui n’est ni trop cher, ni trop bas. Pour avoir une idée des tarifs qui se pratiquent dans le monde de l’automobile, demandez plusieurs devis.

Contactez le service client

Un bon garage doit avoir un service client. C’est l’un des critères que vous devez prendre en compte lors de votre sélection. La présence d’un service client – téléphonique ou physique – rassure grandement les consommateurs. Vous pourrez aisément échanger avec la personne chargée de clientèle des éventuels soucis techniques que vous aurez après la réparation ou simplement demander conseil. Plus le service client est qualitatif, plus la qualité des prestations du garage sera bonne.

Demandez les certifications

Il ne s’agit pas simplement de vérifier les agrégations du garage, mais également celles des mécaniciens. En effet, pour exercer leur métier, ils doivent détenir des diplômes et des certificats spécifiques. Sur la base du droit des consommateurs, il est de votre droit de demander à voir les certifications.

Certains garages ont pris l’initiative de jouer la carte de la transparence et d’afficher leur certification sur un pan de mur afin que les clients puissent les consulter. Attention, il n’est pas dit que les garages sans certification ne sont pas compétents dans leur travail, au contraire, certains peuvent même être plus compétents que d’autres. À vous de juger et d’expérimenter.

La bonne conduite à adopter

Tout conducteur a au moins été surpris par une crevaison. Cela pourrait résulter d’une insuffisance de pression dans la pneumatique. Au cours de la conduite, cela entraine une forte résistance au roulement. Une crevaison peut aussi résulter de la pénétration d’un corps étranger souvent pointu à l’intérieur du pneu. Mais, lorsque le conducteur prend conscience qu’un de ses pneus est crevé en cours de route, la peur de faire un accident lui vient automatiquement. Son premier réflexe sera de vouloir s’arrêter. Mais, malgré cet instinct de survie, il faut éviter de s’arrêter trop sèchement pour ne pas perdre le contrôle du véhicule. L’idéal c’est de procéder à une petite accélération pour maintenir la tenue de route du véhicule surtout si celui-ci est lancé à grande vitesse.

La tenue de route avec un pneu crevé

Actuellement, les constructeurs de pneus mettent à la disposition des automobilistes des pneus qui peuvent continuer à rouler même s’ils sont crevés. Il convient juste de choisir le modèle adapté à chaque type de véhicule. Il existe des modèles composés d’un caoutchouc de renfort de flanc pourvu de Runflat. Particulièrement rigides, ils assurent un meilleur soutien au véhicule même en cas de crevaison. Avec ce type de pneu, même crevé, la voiture peut rouler jusqu’à une vitesse de 80 km/h maximum.
Mais, la plupart des voitures sont équipées de pneus classiques. En cas de crevaison, les pneus classiques peuvent rouler une courte période. Pour pouvoir parcourir une distance plus longue même en cas de crevaison, il est conseillé de choisir un pneu qui ne possède pas de chambre à air.

La déclaration de perte est-elle utile ?

Normalement, une perte de votre certification d’immatriculation ne nécessite pas la déposition d’une déclaration auprès des autorités. Le procès-verbal de déclaration de perte ne fait d’ailleurs pas partie des documents requis lorsque vous déposez une demande de duplicata. Néanmoins, cette déclaration vous servira à prouver que vous avez réellement perdu votre carte grise. En effet, n’importe qui peut évoquer une perte lors d’un contrôle routier même s’il ne s’agit que d’un simple oubli. Avec la déclaration de perte, vous pouvez justifier votre situation, mais cette simple déposition n’aura pas la même valeur que votre carte grise. C’est pourquoi vous devez toujours éviter de rouler sans vos papiers complets. En revanche, dans le cas d’un vol, la déclaration de vol sera nécessaire si vous souhaitez effectuer une demande de duplicata.

Quelles sont les démarches à suivre ?

Une déclaration de perte peut se faire auprès d’un commissariat ou d’une gendarmerie. Si la perte a lieu à l’étranger, il est recommandé de toujours en avertir les autorités locales. La déposition qui est à remettre aux autorités se présente notamment sous forme d’un formulaire nommé « Cerfa n° 13753*04 ». Ce document est téléchargeable directement à partir du site officiel du service public. Vous devez ensuite le remplir et l’imprimer avant de le remettre au commissariat le plus proche. Selon le pays où vous avez perdu votre carte grise, les démarches à suivre auprès des autorités locales peuvent être différentes. Mais une fois rentré au pays, vous aurez toujours besoin de remettre le Cerfa n° 13753*04 à un service de police. Après avoir remis votre déclaration de perte de carte grise, vous recevrez un récépissé justifiant votre demande ainsi qu’une fiche d’identification de votre véhicule. Cette dernière comporte deux volets. La première constitue une autorisation de circuler sans carte grise pendant 1 mois. C’est un délai jugé suffisant pour obtenir un duplicata. La demande de duplicata peut par ailleurs s’effectuer à l’aide du second volet du récépissé.

Que se passe-t-il si vous circulez sans papier ?

En cas de contrôle routier, si vos papiers ne sont pas en règle, vous serez verbalisé. Votre véhicule risque éventuellement d’être immobilisé et l’amende à payer peut aller de 135 à 750 €. Vous serez également dans l’incapacité de vendre votre véhicule puisque la carte grise ou son duplicata sont des documents officiels nécessaires lors d’une vente, car ils prouvent que vous en êtes le propriétaire légal. Grâce à une déclaration de perte, vous n’aurez normalement aucun souci lors d’un contrôle routier sauf si vous avez dépassé le délai de validité du récépissé. D’autre part, la vente du véhicule devient également possible si vous avez effectué une déclaration de perte. Notez que la fiche d’identification délivrée avec le récépissé vous sera d’ailleurs utile si votre véhicule doit passer un contrôle technique.

Que faire après la déclaration de perte ?

La déclaration de perte ne pourra pas vous servir indéfiniment. Vous aurez besoin d’initier une demande de carte grise. Consultez la procédure détaillée en cliquant ici. En tout cas, vous aurez besoin de remplir un autre formulaire Cerfa. Vous devrez aussi fournir en plus du deuxième volet du récépissé de votre déclaration de perte un certain nombre de pièces justificatives. Le montant de cette démarche dépendra des frais de gestion et du cheval fiscal de votre région. Vous devrez également prévoir une redevance d’acheminement de 2,76 €. Par ailleurs, la démarche se fait entièrement en ligne à l’aide de la plateforme de l’ANTS. Même si la démarche à suivre est plus ou moins simple vous pouvez demander à un organisme particulier pour vous aider.

Fonctionnement d’une moto électrique

La moto électrique fonctionne avec une batterie. Le principe de fonctionnement ressemble à celui d’un aimant. En effet, le moteur d’une moto électrique est équipé de stator, qui est un élément statique. Cette pièce va mettre en mouvement un rotor sous l’impulsion d’un champ magnétique afin de créer une force. Ensuite, selon la polarité, un mouvement est également créé qui va de l’avant vers l’arrière. L’axe se trouvant au niveau du rotor va récupérer l’énergie créée par le mouvement et l’envoyer au niveau de la roue arrière de la bécane en s’aidant d’une chaine ou d’une courroie.

Les types de moteurs qu’on peut avoir sur une moto électrique

Une moto électrique peut être équipée soit d’un moteur de type brushed ou à balais, soit d’un moteur sans balais ou brushless. La plupart des motos électriques sont surtout équipées de moteur sans balais. La raison est que ce type de moteur limite les frottements. Sans frottement, on a moins d’entretien, mais plus de rendement.
Les deux types de moteurs sont assistés par un système de contrôle. Ce dernier permet la gestion efficace de la puissance du moteur. Il gère également l’accélération et le système de freinage de la bécane. Il se charge aussi du contrôle de la récupération énergétique. Il est par ailleurs possible d’avoir des équipements de mapping électronique sur ces deux types de moteurs. Cela va améliorer la performance du moteur et l’autonomie de la batterie.

Les types de batteries qu’on peut trouver sur ce type de bécane

La plupart des motos électriques sont équipées de batterie lithium-ion. C’est le cas des motos super soco. On peut aussi trouver des motos dotées de batterie lithium-polymère. Ces deux types de batteries présentent un rapport capacité/prix/durabilité/poids plus intéressant. Ils sont également contrôlés par le système battery manager system qui optimise la charge de la batterie ainsi que sa décharge. Ce qui améliore la durée de vie de la batterie.
A noter que sur les meilleurs modèles de batteries, on peut avoir une durée de vie du double des technologies de batterie précédentes. Enfin, la plupart des batteries équipant les motos électriques sont recyclables.

Quid de la récupération en énergie ?

Une moto électrique fonctionne avec un système de récupération d’énergie. Par principe, lorsque le motard freine, sa moto produit de l’énergie cinétique, c’est-à-dire qu’en freinant, le système de freinage va recharger la batterie. Au moment de la décélération, il est également possible de récupérer la force engendrée qui sera ensuite transformée en électricité pouvant recharger la batterie. Cela optimise l’autonomie de la batterie.

Au de-là du capot

On pourrait penser qu’opter pour une Toyota Corolla ou une Renault Clio au lieu d’une Renault 4 ou d’une Peugeot 206 soit juste par attirance physique, mais en fait non. La vraie beauté est intérieure. Depuis la création du tout premier véhicule motorisé, l’Homme ne cherche qu’à améliorer ses performances. Ces améliorations sont certes très remarquables au niveau de l’allure (assez pour rendre les anciens modèles jaloux), mais en consommant, nous nous rendons compte que ce choix est justifié. Souvent ces modèles qui valent chers valent également l’économie en arrière-plan, c’est-à-dire qu’elles consomment moins comparés aux anciens modèles. Il y a aussi le facteur de la rapidité qui est très recherché chez une voiture, par ceux qui sont constamment pressés et par les amateurs de sensations fortes. Le moteur est donc le cœur et la clé.

Qui mérite cet amour ?

Si vous êtes à la recherche d’un « crush » automobile, voici quelques choix à vous couper le souffle. D’abord, La Toyota Corolla qui bat tous les records de ventes depuis des années. Immatriculée plus de 49 millions de fois, elle n’a pas fait exception l’année précédente malgré la pandémie. Cette merveille vole des cœurs depuis sa production en 1966, encore plus avec le modèle actuel qui est de 2019. Il y a aussi La splendide Volkswagen Golf de 1974 avec son dernier modèle de 2020 qui a fait 37 millions d’immatriculation. Avec elles vous irez jusqu’à la 7è borne.

En quoi consiste un diagnostic automobile ?

Pour le dire plus simplement, il s’agit d’un bilan de santé de votre 4 roues. Il s’agit donc de faire une évaluation générale de la voiture afin de détecter et prévenir les éventuelles pannes de votre voiture.

Il faut faire un tour sous le capot pour réaliser ce genre d’évaluation. Pour ce faire, les professionnels se munissent de différents appareils : détecteur et capteurs comme le vag com ou le vcds, notamment pour les nouvelles gammes de véhicules issues de la nouvelle marque Volkswagen.

Tous les détails de la voiture sont alors pris en considération. Ce peut être la batterie, le système de démarrage, les systèmes de sécurité, etc. L’objectif étant qu’à la sortie du garage, votre véhicule soit impeccable comme au premier jour.

Une évaluation suivie d’une réparation

Un diagnostic de véhicule ne consiste pas seulement à réaliser un bilan technique avec des appareils comme un vag com vcds. Il s’agit également de procéder aux éventuels réglages et réparations nécessaires pour la bonne marche de la voiture.

On recommande notamment l’utilisation du vagcom français pour toute lecture, diagnostic et réparation de code, la remise à zéro du système, etc., et ce, sur les véhicules de catégorie VAG.

Sur le Net, vous avez plusieurs choix de vcds vag com. Ce sont des appareils de diagnostic de système de votre véhicule de gamme VAG. La liste des 4 roues compatibles n’est pas exhaustive.

Pourquoi passer par un diagnostic automobile ?

On recommande notamment de passer par un diagnostic automobile avant de partir en vacances ou de prendre une longue route. Pour cause, c’est le premier gage de sécurité sur la route. Vous aurez la garantie qu’il n’y aura aucun pépin pendant que vous conduisez. Vous pourriez vous concentrer uniquement sur la route.

Un bilan de ce genre, et ce, au moins une fois par an, est nécessaire. Il en va non seulement de votre sécurité, mais aussi de celle des autres utilisateurs de la chaussée. Vous minimisez les risques de collision et d’accidents en tout genre.

Mais ce sera aussi la garantie de profiter d’un minimum de confort sur la route. Un véhicule qui vient entièrement d’être diagnostiqué et remis à neuf sera plus simple à prendre en main. Ce qui est une bonne chose notamment si vous comptez confier le volant à un conducteur novice afin de vous reposer. D’ailleurs, même un pilote aguerri ne dirait pas non à une voiture complètement aux normes comme à la sortie des usines.

Bien évidemment, pour réaliser un diagnostic technique, vous pouvez l’effectuer seul si vous disposez d’une valise de diagnostic automobile que voici. Si vous utilisez ce matériel pour la première fois, mieux vaut le faire avec un professionnel. Il vous montrera comment fonctionne l’appareil, etc. Si vous remarquez des pannes ou défaillances, votre mécanicien peut tout de suite faire les réparations nécessaires. Si vous ne disposez pas d’une valise de diagnostic, vous devez joindre votre garagiste.